Seminário Maior Regional Maria Mãe da Igreja
CAMPO GRANDE DO SUL - BRÉSILSEMINÁRIO MAIOR REGIONAL MARIA MÃE DA IGREJA – CAMPO GRANDE
Le Seminário Maior Regional Maria Mãe da Igreja, accueille les séminaristes des sept diocèses du MS. Le temps de formation initiale ( trois ans de philosophie et quatre ans de théologie), enraciné en Jésus, cherche à former le séminariste comme homme de foi, appelé au ministère sacerdotal, dans l’intégrité des dimensions suivantes : Humaine-Affective, Communautaire (former l’homme capable de faire communauté) ; Spirituelle-Vocationnelle (vivre l’expérience de la rencontre et de la permanence avec Jésus qui nous appelle) ; Pastorale-Missionnaire (action pastorale dans les communautés qui nous pousse à dépasser nos frontières) et Intellectuelle-Académique (en dialogue avec la culture pour rendre raison de notre foi).
Cette année, deux nouvelles réalités enrichissent l’expérience formative : les séminaristes de philosophie et de théologie vivent dans la même maison, ce qui a favorisé le sentiment d’appartenance entre les différents diocèses, la richesse des dons et des charismes au service du séminaire et la maturité pour assumer la présence de l’autre. Aussi la présence de la nouvelle équipe de formation (trois prêtres sulpiciens et un prêtre de l’archidiocèse de Campo Grande), qui assume la pédagogie de la Compagnie des Pères de Saint-Sulpice (Compagnie de prêtres diocésains voués au discernement des vocations, à la formation initiale et continue des prêtres ; Paris, 1642).
Le Séminaire, afin de former des pasteurs avec un visage capable de répondre aux besoins pastoraux de l’EMS, souhaite former selon l’impulsion de l’Esprit, afin que vivant pour Dieu en Jésus-Christ, les futurs pasteurs assument les traits de Jésus Bon Pasteur. En cela, il est fondamental qu’en tant qu’hommes de foi, ils s’ouvrent à la grâce dans leur engagement quotidien pour répondre à l’invitation du Maître de la moisson.
Il est de la responsabilité des communautés chrétiennes de prier pour le Séminaire, qu’elles doivent ressentir comme leur propriété, comme une réalité qui leur appartient, puisque c’est là que sont formés leurs futurs pasteurs.